| Noël 2018
Ethelwil Mondcrow PO : 411 Messages : 208 Date d'inscription : 15/09/2018
| Lun 24 Déc - 15:18 | Défis : Jour 1 : Décrire un objet lambda et inutile Love : Négatif svp <3
------ La description d'un magnifique tapis d'entrée... Edit Staff : Gain effectué -3 love
https://overtale.forumactif.com/t217-ces-rencontres-surprenantes-toriel#1729 "« Mon beau-père avait beau tenter de la calmer, rien n’y a jamais fait. Jusqu’à ce que je lui montre enfin ma maison. Elle me boudait et j’ai dû user de toute mon savoir pour la faire déplacer jusqu’à chez moi. Vous auriez dû voir sa tête quand elle a découvert mon tapis d’entrée. Vert éclatant, avec des motifs de fleurs et de pétales roses et oranges. Chaque fleur avait des pistils noirs. Et chaque fleur possédait une taille différente. De très petites et de très grandes. Au centre du tapis, j’avais fait inscrire un immense « Bienvenue maman! » multicolore. Chaque lettre semblait faite de bois, comme si un arbre avait tenté de s’immiscer dans cet amas de fleurs.
Je voulais que ces lettres représentent quelque chose d’unique, aux yeux de ma mère. Je voulais qu’elle comprenne que malgré la distance, j’étais toujours là. Comme les fleurs autour des branches… par qu’une mère, ça ne s’éloigne jamais beaucoup de son enfant. Oh et il beau, mon tapis! Il avait de magnifiques fils jaunes qui pendaient aux quatre coins, et il était fait d’une laine tellement douce! C’était plus décoratif que pratique. Je l’avais fait faire sur mesure, pour qu’il soit adapté à la taille de ma maison et… à notre taille, à ma mère et à moi. Mon beau-père l’a toujours trouvé ridiculement trop grand. Pourtant, il fait à peine deux mètres de long et de large! Vous imaginez si j’avais pris plus petit? Ça aurait été ridicule! Oh! Et il y avait plein de petits insectes aussi dans les fleurs! Des abeilles, des lucioles, des mouches, des scarabées…
Mais… pardon, je m’égare… Ce que je voulais vous dire, c’est… que même si Frisk est moins présent.e, il vous aime toujours. Essayez de discuter avec elui. Parfois, c’est plus simple que de tenter de tout régler sans comprendre. Frisk a de lourdes tâches en tant qu’Ambassadeur! »"
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InvitéInvité | Mar 25 Déc - 0:37 | |
Frisk Dreemurr PO : 673 Messages : 428 Date d'inscription : 14/09/2018
| Mar 25 Déc - 6:19 | |
Frisk Dreemurr PO : 673 Messages : 428 Date d'inscription : 14/09/2018
| Mar 25 Déc - 18:27 | |
Frisk Dreemurr PO : 673 Messages : 428 Date d'inscription : 14/09/2018
| Mar 1 Jan - 5:10 | |
InvitéInvité | Sam 5 Jan - 13:54 | |
Papyrus PO : 339 Messages : 102 Date d'inscription : 07/10/2018
| Mar 15 Jan - 3:34 | Défis :J13 Raconte nous un ship avec ton personnage [Désolé ami.e Frisk, j'ai trouvé notre amour superbe, mais je vais encore briser ton coeur !] Love : L'amour se doit de m'enlever du LOVE ! Je l'espère du moins ! Merci d'avance ! Edit Staff : Gain effectué : -3 Love
------ Le passeur était mystérieux, aussi insondable et ténébreux que l’eau sur lesquelles il faisait naviguer les âmes errantes de l’underground. Et Papyrus ne l'avait pas souvent côtoyé, bien loin d’être à l’aise à l’idée de s’entasser dans sa barque canine, couper de tout replie terrestre et incapable de mouvoir ses longues jambes avides d’activitées. Cependant, les fois où il emprunta ce moyen de transport augural était marqué dans son esprit, comme des souvenirs teintés de mysticisme. Peut-être était-ce car ce n’était qu’en de très rares occasions qu’il y avait recours – quand ils avaient quittés Hotland ou encore quand ils avaient rejoint la surface - mais tout était-il que son chant qui n’avait rien de mélodieux envoûtait le squelette et ces allocutions sybillines trouvait un écho particulier en lui.
Un murmure, un appel qui le poursuivait jusque dans son lit stylé, qui emplissait ses nuits de "tra la la ~" et d'obsessions. Même à la surface il ne pouvait s'empêcher de se demander, en tournant et retournant sa lourde carcasse dans sa prison vermillon, si le passeur était toujours là, à attendre les dernières âmes vivantes enterrées sous terre pour les guider de ses fantasques phrases prophétiques. Encore dix ans plus tard, il en était toujours aux mêmes interrogations qui résonnaient toujours plus fortes, plus pressentes dans son âme. Le squelette ignorait les raisons de sa fixation pour l'ombre fendant les flots, mais il avait peur d'en oublier de s'occuper de la santé de son frère, du bien-être de son.a meilleur.e ami.e humain.e ou encore d'abandonner tous ceux qui comptaient à ses yeux et qui comptait sur lui. Il était terrorisé à l'idée de redescendre, d'à nouveau monter sur la surface boisé du bateau incongru et de ne pas y trouver de réponse à sa folie. Ou pire, d'y trouver des réponses et de s'y complaire, de délaisser tous les siens pour l'irraisonnable après tout ce que chacun avait sacrifié.
Mais tout tournait en boucle, sa vie tournait en boucle, ses journées tournaient en boucle et ses spaghettis tournaient en boucle sous le sons fantasmé d'un "tra la la ~" chantonné dans sa conscience malade. Il devait comprendre ce qu'il ressentait, ce qui l'emportait et l’envoûtait dans ses mots, ses phrases, cette voix. Papyrus descendit dans les sous-terrains qu'il avait quitté il y a bien longtemps et marcha jusqu'à Hotland d'un pas déterminé. Il traversa l'enfer de ces calciterres aux tapis roulants aspirant toute énergie et au jet de vapeur horriblement anti-robes et jupons pour arriver jusqu'au fleuve qui accueillait le passeur. Qui était là, comme si il était au courant de sa venue. Sa traversée, qui était le symbole de sa grande dévotion à percer la nature de ses sentiments dérangés, fut éreintante et révoltante. La voix du passeur l'apaisa immédiatement, comme un baume appliqué sur son âme embrasé. "Où allons-nous aujourd'hui ?"
Papyrus répondit du tac au tac "QUI ES-TU, PASSEUR ?"
"Je suis le passeur. Ou la passeuse... ? Ce n'est pas très important. J'aime conduire mon bateau. Veux tu te joindre à moi ?"
Le squelette ne pouvait cacher sa déception, mais il s’accommoda de la réponse "EVIDEMMENT !"
"Où allons-nous aujourd'hui ?" Répéta la silhouette drapée.
"SNOWDIN !"
Papyrus rentra chez lui, et posa un sac de couchage dans sa chambre épurée de tout ses meubles. Il y passa une nuit pleine de nostalgie et de question. Puis le lendemain il se réveilla et reprit le bateau pour Waterfall.
"Où allons-nous aujourd'hui ?"
"QUI ES-TU, PASSEUSE/PASSEUR ?"
"Je suis le passeur, ou la passeuse. J'aime conduire mon bateau. Veux tu te joindre à moi ?"
"BIEN SUR"
Et il rentra à Snowdin le soir pour dormir. Et le lendemain il repartit pour Hotland. Après les salutations d'usage il reprit :
"QUI ES-TU, PASSEUSE/PASSEUR ?"
"Je suis le passeur, ou la passeuse. J'aime conduire mon bateau. Veux tu te joindre à moi ?"
"Avec plaisir"
A chaque fois il recevait la même réponse. Encore et encore et encore. Finissant par renoncer et tenter de discuter avec l'intriguant voyageur des ombres. Longtemps ce manège recommença, tournant perpétuellement de la même façon, tel un fidèle carrousel. Puis longtemps plus tard, alors que le squelette se rendait encore une fois à Calciterres pour finir de démonter tous les tapis roulant de la raison par intérêt public, le passeur changea de registre.
"QUI ES-TU, PASSEUSE/PASSEUR ?"
"Je suis le passeur, ou la passeuse. J'aime conduire mon bateau. Veux-tu voir le reflet du vide."
Une sueur froide coula le long de la tempe du squelette et sa réponse était incertaine, loin de la curiosité vorace habituelle. "JE PENSE QUE OUI..."
Alors la capuche du passeur tomba et ce que Papyrus vit... Il ne pourrait le décrire, il ne pourrait l'intellectualiser. Ce fut précieux et éphémère, horrifique et céleste. Même si il aurait pu le décrire, le monstre s'en serrait bien gardé, c'était un secret qu'il chérirait dans l'avenir avec beaucoup de douceur amère. Son âme se réchauffa à sa vue, à cette vue, quoique cela fusse, et quand il posa ses doigts gantés sur ce qu'il observait, ce fut comme un millier de papillon effleurant en rafale les os de ses bras, remontant jusqu'à son sternum. La capuche fut remise, mais le moment était encore tremblant du moment. Le squelette était reconnaissant de cette vision. Il finit par ramener douloureusement ses bras contre lui. Il avait ses réponses. Des réponses sur lui-même et sur ses sentiments. Il devait s'arracher maintenant à ces réponses pour ses proches.
"JE DOIS REPARTIR. POUR HOTLAND."
Le passeur se remit en route. Mais avant qu'il s'exprime, Papyrus soupira "JE REMONTE... PRES DES MIENS. QUEL EST TON DEVOIR ?"
"Tra la la ~ Je dois conduire mon bateau pour tous les badauds qui traversent l'eau."
C'était douloureux, mais voilà leur devoir. Le devoir d'être là pour ses proches qui avaient tout donné, ou le devoir du passeur de guider les âmes égarés. Alors il remonta dans l'Overland, l'âme libérée, mais attristée. L'amour n'était pas impossible, mais c'était ici une question de priorité. |
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Papyrus PO : 339 Messages : 102 Date d'inscription : 07/10/2018
| Mar 15 Jan - 4:50 | Défis : Jour 11 Ecris un post en vers Jour 19 Rédige un rp qui contient exactement 457 mots Jour 7 Inclus les mots "Glace Gentilly", "Fémur" et "Howdy" dans un post rp Jour 17 Rédige un post en acrostiche [J'ai fais 4 défis d'un coup car je trouvais ça assez stimulant et amusant ! J'ignore si cela pose problème mais je le poste donc ! C'est un genre de "rp solo", une introspection satirique de la situation de Papyrus dans le monde de la surface !] Love : Alors en négatif si c'est possible évidemment vu mon format ! Edit Staff : Gain effectué : -4 Love
Edit Staff : Gain effectué : -5 Love
Edit Staff : Gain effectué : -6 Love
Edit Staff : Gain effectué : -7 Love
------ Parfois Papyrus s’interrogeait, est-ce que leur situation se compliquait ? Alors que les factures tapissaient le frigo, il se faisait un mémo. Penser à toujours positiver, ne surtout pas se laisser démonter. Y’avait t-il plus grand bonheur que de partager son logis avec son âme-sœur ? Rare étaient ceux qui en avait la chance, il ne fallait pas traiter cela avec indolence. Un peu de compagnie et alors l’argent, on pouvait s’en faire l’économie largement. Sacré étaient les moments où ils se réunissaient en mangeant.
Voilà le secret du bonheur, criaient les protecteurs ! Au diable les menteurs, criaient les détracteurs !
Tous les jours il était heureux de ne pas être, dans son coeur, déjà creux. Outre le financier, l’amour était à considérer. Un peu facile, pensait-il parfois. Ca se voit que celui qui ramène l’argent, ce n’est pas toi. Jour après jour tu restes là, incapable de vous assurer un toit. Observant son frère, il n’était souvent pas bien fier. Un coup de main aurait peut-être été apprécié, mais au travail on le disait sur-qualifié ! Renvoyés en boucle de ses travaux trop mous, à son cerceuil on enfonçait les clous. Sur ses pensée parfois acides, il se souvenaient qu’il fallait que la joie réside.
Brasser les mauvaises formules, on en faisait des mauvais calculs. Il n’y avait point de mérite à trouver sa chambre décrépite. Elle faisait l’affaire, ce n’était pas des mots en l’air. N’en déplaise aux cyniques, il saurait rester sympathique !
,Mais un travail il en trouverait un, que ce soit vendre des glaces Gentilly ou du pain Et même si le travail de ses rêves étaient partis, que le roi n’avait pas besoin de lui pour protéger ces « howdy », Tout irait bien…c’était certain, il n’avait de craintes dans son quotidien… au moins... Aussi perdu était-il, il n’était pas fébrile Parce qu’ils étaient deux, deux pour se porter vers les cieux Héroïquement accompagnés sans faille, par leurs ami.e.s qui mériteraient une médaille. Outrageusement entouré ici, il ne pouvait qu’être apaisé même si Rare était les nuits qu’il finissait dans son lit Insomniaque il errait, sur ses réseaux sociaux parfaits. Quel stresse pourrait lui être soumis, qui justifierait ses insomnies ? Un peu de fatigue tout au plus, rien qui ne puisse faire penser à un virus En étant droit dans ses fémurs et solide sur ses appuies, il tenait tous les murs de son esprit Maintenant ses amis s’éloignaient, son frère et son humain.e se défilaient Et il trouvait cela sain et rassurant, de les voir bien sortir en… s’amusant ? Ne pas savoir n’était pas un mal, il n’était pas indiscret. C’était normal et leur volonté Tout irait bien, il en était sûr, bien malgré toutes leurs factures.
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Sans PO : 355 Messages : 97 Date d'inscription : 07/10/2018
| Mar 15 Jan - 5:02 | Défis : jour 1: décrire un objet lambda et inutile. Love : [négatif malgré la très mauvaise blague?] Edit Staff : Gain effectué : -1 Love
------ Cet objet n'a été vidé de son utilité qu'à l'addition des jours, à la somme des empoignades aussi fainéantes qu'appliquées qui ont tannées son armature vieillotte et cartonnée jusqu'à lui donner des rides souriantes. Le bourrelet qui renforce le haut et le bas du dos de reliure est filandreux, ses poils gris sont décoiffés et sur les côtés rallongés de scoubidous au jaune spaghetti. Son dos est coloré de gommettes honorifiques et d'annotations, superposées les unes aux autres dans un brouhaha de commentaires enthousiastes. Un vermeil tâché par les années, par des mains gantées de rouge lui ayant offert de nombreuses cabrioles rocambolesques, infuse tendrement sa couverture. Couverture qui gagne ses lettres de vaillance grâce à l'intrépide lapin qui la décore, oreilles dressées et museau vif. Le livre proposait initialement une épaisseur de quarante-trois pages et était illustré du même nombre de dessins à chaque verso. Aujourd'hui certaines des pages d'origine, hautes d'environ dix-huit centimètres, manquent à l'appel. Leur lourde absence est compensée par des feuilles de papier bien plus modestes scotchées dans un bricolage approximatif. Ces dernières, ventripotentes et trop longues, dépassent ouvertement de la structure du bouquin et sont encore plus cornées que leur consœurs plus proprettes. Certaines illustrations se sont également dissipées à force d'être martelées extatiquement par un Papyrus avide d'inspecter les environnements graphiques et furent récupérées avec précaution au stylo noir alors que d'autres se trouvèrent ingénieusement complétées par les deux frères un peu trop ravis de gratifier un certain lagomorphe d'un chapeau tricorne ou d'une médaille du mérite en chocolat. Le livre que Sans lit chaque soir à son frère, Peek a boo with Fluffy Bunny, apparaît comme un condensé fidèle de leurs vingt dernières années, comme le totem de leur fraternité. Cependant un œil qui inspecterait le rituel du coucher s'en rendrait sûrement compte : le trésor abîmé et habité par toutes les couleurs du spectre émotionnel n'est qu'un catalyseur. Un élément de liaison qui ne fait que formaliser, matérialiser un moment qui n'aurait besoin que d'un bout de bois pour se dérouler. Parce que Papyrus pourrait se contenter de mots et se dessiner des images mentales, assez galopantes pour le faire tournoyer à chaque coin de sa chambre. Parce que Sans n'a pas besoin d'avoir les orbites ouvertes pour réciter la jolie histoire qu'il connaît par cœur depuis un bail.
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Sans PO : 355 Messages : 97 Date d'inscription : 07/10/2018
| Mar 15 Jan - 6:11 | Défis : : j 13 : raconte-nous un ship avec ton personnage. warning c'est chaud, chaud, chaud. musique d'ambiance. Love : [négatif peut-être, en vrai c'était surtout pour le nawak.] Edit Staff : Gain effectué : -2 Love
------ Ils étaient comme le feu nouveau et la glace fondue. L’un abritait l’ambition en germination qui bientôt coloniserait les terres, l’autre laissait choir en même temps que son ossature rebondie des espoirs en déliquescence avancée. L’un était la rigidité du corps trônant face à l’océan des oubliés et l’autre s’incorporait à la rugosité de son sofa bon marché, oubliant qui de lui ou de son paquet de chips trônait sur l’autre. L’un ne vivait que par lui-même et en toute matière et l’autre prétextait de vivre par la procuration des rares qui lui donnaient un peu de leur substance. L’un avait les traits hypocrites et la voracité réelle. L’autre avait les traits hypocrites et la satiété comme une compagne imposée. Lyam était grand comme un roi et Sans petit comme un bouffon. Lyam était faible comme celui qui nie et Sans était fort comme celui qui ne voit que des faits. Et un jour alors que Sans fut trop fainéant pour gentiment se téléporter ailleurs et qu'il se retrouvèrent coincés dans un ascenseur très arrangeant, tout commença. Ils avaient tout pour se mépriser et ils l’ont assurément fait. Bien trop pour se frapper l'un l'autre d'indifférence. Peu à peu le lion aux prétentions royales se confronta à la crise de nerf. Se heurta à la crise de foie pour ne pas avoir su digérer les inepties de son camarade imposé. Mais les trois coups de leur relation retentirent avec le début de la crise de foi, de la crise existentielle. Comment un être pouvait-il être si savamment horripilant et si puissamment imparfait tout en étant résolument impossible à étrangler, glissant sur le damier sous leur pieds à chaque tentative, dans un ballet improvisé dont il ne voyait aucun geste ? Lyam ne le savait pas. Mais ce qu'il savait c'était que cette éternité en vase clos était destructurante, revenait à danser comme un tango dissonant aux portes de l'enfer. Lorsque cette métaphore lui vint en tête, brouillonne et brûlante, il comprit qu'il était déjà cuit et qu'une partie de lui-même ne reviendrait jamais de cette rixe contre le non-sens. Alors autant abdiquer une bonne fois et admettre, tout admettre, cracher l’élégie amère de ses propres failles et les offrir en bouquet à cet opposé diamétral pour que la ronde cesse enfin. Face à tant de rancune refoulée et face à ces cheveux rougeoyants si esthétiquement désordonnés Sans ne se retint pas de lâcher un commentaire lourd de vérité. "wow, dude, c'est moche." Et cette déclaration à la flemmardise un rien embêtée, alors pourtant que l’adversaire aurait pu pourfendre le flanc exposé du rouquin, suffit amplement à laisser la magie opérer. Jamais Lyam ne s'était senti aussi compris.
ps : c'est pas ma faute, c'est celle de frisk et de paps.
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Papyrus PO : 339 Messages : 102 Date d'inscription : 07/10/2018
| Mar 15 Jan - 6:51 | |
Sans PO : 355 Messages : 97 Date d'inscription : 07/10/2018
| Mar 15 Jan - 7:11 | |
Sans PO : 355 Messages : 97 Date d'inscription : 07/10/2018
| Mar 15 Jan - 8:28 | |
Frisk Dreemurr PO : 673 Messages : 428 Date d'inscription : 14/09/2018
| Mer 16 Jan - 12:16 Animation terminée! Merci à tous pour votre participation | |
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