Les RPs sont susceptible de contenir de la violence verbale et physique, ainsi que de l'érotisme. Avatar illustrés 200 x 400, contexte fantastique tiré d'Undertale. Pas de minimum de ligne.
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03/08/2016 — Lorem ipsum cherche un partenaire RP! Plus d'infos par par ici.02/08/2016 — Un nouveau prédéfini a rejoint le bottin, ouvrez l'oeil, il paraît qu'il est dangereux !17/07/2016 — Lancement de l'intrigue #2, renseigner-vous pour y participer ...
Cette fois ci, c’était décidé. Et surtout planifié, ce qui est assez rare pour le souligner. L’idée lui trottait déjà dans la tête depuis quelques temps… Une envie. Faut toujours prendre les envies au sérieux, et les assouvir dès qu’on peut. Au cas où elles partiraient. Et cette fois-ci c’était une envie plus forte, moins commune, envie d’une activité habituelle dans un lieu qui ne l’est pas : aller filmer et prendre des photos dans l’Underworld. Alors oui, c’est plus long à planifier qu’une ballade dans le quartier. Ben déjà, ça doit être planifié. Enfin « planifier »… Acheter un ticket de bus et faire son sac, en gros. Elle mit dans son plus gros sac à dos (un sac de randonnée kaki et brun) quelques vêtements, des babioles probablement inutiles, (du scotch, un long bout de tissu...) du matériel vidéo, et de quoi manger pour quatre jours, ne sachant pas combien de temps elle allait rester. Autant prendre large. Le bus partait en fin de matinée, et emmenait près du Mont Ebott. Une fois dedans, elle salua vaguement le conducteur, sans le regarder, par un « b’jour » à peine audible, et s’installa au fond. Il n’y avait qu’une personne à bord du véhicule. Un monstre, une femme qui avait l’apparence d’un lapin humanoïde. Le voyage se passa assez vite, mais une fois descendu, un peu de marche était encore nécessaire pour atteindre l’entrée de l’Underworld. Marche qui passa assez vite pour Salomé, ayant son casque sur les oreilles, et avançant à une bonne allure. Une fois en haut de Mont Ebott, elle prit une courte pause, grignota quelques sablés, et pris quelques secondes de vidéo, une vision panoramique de la montagne, puis continua de marcher. Elle s’avança, non plus sur, mais dans la montagne. Le silence régnait. L’ambiance semblait oppressante. Elle continua de marcher dans une quasi-obscurité, sa caméra à la main, un léger stress au ventre. Stress qui lui apparaissait à ce moment comme une des choses les plus fortes qu’elle aie ressentis ces derniers mois, voire ces dernières années. Au bout de quelques minutes à marcher lentement, elle atterrit dans un couloir, au bout duquel il y avait un ascenseur. Elle le prit sans trop réfléchir, continua dans un couloir qui semblait être à l’intérieur d’une machine, et prit un autre ascenseur, qui l’emmenait encore plus en bas. Cette fois, pas de couloir à sa sortie, mais une pièce comportant trois portes, deux sur les côtés, et une devant l’ascenseur. Salomé prit instinctivement cette dernière. Bon choix : elle arrivait dans un lieu qui semblait déjà moins froid, au sens figuré comme propre. Ce lieu ressemblait à un hall de palace… Une fontaine projetait de l’eau au milieu de la pièce. Sur le sol de la pièce. Il y avait quelques tables et chaises, une sorte d’accueil, où se trouvait un monstre au visage qui semblait jovial, mais qui inspirait peu la confiance, et des couloirs qui partaient à droite et à gauche de la pièce. En face, derrière la fontaine, semblait se trouver une porte de sortie. Il y avait une autre personne dans la salle : un monstre, assez petit, qui se déplaçait avec une canne et semblait très vieux. Salomé rassembla alors tout ce qu’elle pouvait avoir de sociabilité, de politesse et de locution pour aller parler à cette dame, qui avait plus de chances qu’elle de connaître les lieux. Elle s’avança vers elle, se plaça devant et lui dit, d’un ton relativement peu expressif :
Cela fait à présent près de 2 semaines que je parcours l’Underworld à la recherche de ma pourriture de mère. Oui, je suis dans une phase haineuse. Ce genre de phase dans ma vie où je n’ai plus la moindre once de bon sens. Cette phase dans ma vie où je voudrais tellement trouver ma génitrice pour lui hurler ma colère au visage que j’en oublie que je ne la retrouverais jamais. Mais c’est ainsi. Ca me passera bien. Dans un jour, une semaine ou mois. Mais en attendant, je me balade désespérément dans l’Underworld. Cela fait 2 semaines que je marche sans but et, il faut bien l’avouer, je suis perdue. A force d’aller à gauche, à droite, j’ai arrêté de me repérer. Mon chemin a finit par me mener à une porte, et derrière cette porte se trouve une grande pièce haute de plafond, avec une fontaine en son centre. Mais où ai-je encore atterris ?! Je soupire, mes jambes commencent à flancher. J’ai besoin de m’asseoir trente secondes. Juste trente secondes de répit et de calme. Je m’assois au bord de la fontaine, et observe mon reflet dans l’eau trouble. J’y vois l’image d’une vieille femme fatiguée, malade. J’ai toujours l’impression de voir une autre personne. Non, cette personne ne peut pas être moi, bien sûr ! Je suis jeune, j’ai 22 ans, je pète le feu. Alors qui est cette vieille femme ridée que je vois, qui me sourit, qui lève la main en même temps que moi, qui hoche la tête en même temps que moi ? Ce n’est pas moi. Mais c’est bien moi. Détachant mon regard de ce reflet qui est le mien sans l’être, je sors une pièce de ma poche et la lance nonchalamment dans l’eau de la fontaine. Il paraît que j’ai droit à un vœu, maintenant. Alors je souhaite de retrouver ma mère un jour, pour avoir enfin ce moment que j’attends depuis mon enfance : pouvoir lui cracher ma haine et mon dégoût au visage. Mais ce moment n’est pas pour tout de suite. Je me remets sur mes petites jambes, prête à repartir, la canne à la main, quand j’entends une voix derrière moi. « Bonjour... Vous savez où on est ? »
Je me retourne, surprise. Je tombe face à une jeune femme avec une énorme sac-à-dos. Je reste perplexe pendant quelques secondes, puis entreprends de lui répondre. « B’jour, je me posais la même question. Cela fait deux semaines que je me balade dans l’Underworld et j’avoue ne plus trop savoir où je me trouve. Désolée, Mam’zelle, je ne peux pas plus vous aider que ça. »
Salomé Kessai
PO : 218 Messages : 59 Date d'inscription : 20/09/2018
Bon, elle n’en sait visiblement pas plus que moi, ça m’arrange bien… Attends, deux semaines ? Mais l’entrée est juste là… Elle a réussi à revenir à son point de départ ? Y’a d’autres entrées ? Bon, remarque, deux semaines à tourner en rond… Je pose mon sac à dos qui me lacère les épaules après l’avoir porté tant de temps sans le poser, puis lui dis alors, pointant du doigt la sortie :
« L’entrée, ou la sortie, est juste là hein. » Puis pointant les autres sorties : « Vous ne savez même pas ce qu’il y a derrière ces portes ? Après deux semaines à errer ici, vous devez bien avoir découvert des trucs. »
Ouais, c’est pas mon habitude d’insister autant, mais là j’ai besoin d’infos… Déjà il fait super chaud ici, je sais pas ce qu’il y a dehors pour qu’il fasse cette chaleur dans le bâtiment, ça m’arrangerait de pas tomber sur un volcan en sortant. Mais non mais c’est complètement con, si il y a une porte, j’vais pas brûler en l’ouvrant… Je vais plutôt partir seule, pourquoi j’essaye de parler aux gens aussi ? Je reprends donc mon sac, et dis à la vieille dame :
« Bon, sinon j’vais me casser, pas vous emmerder plus longtemps… Bon courage hein, à votre j’comprends que ce soit pas facile, les randonnées… » Puis, remettant la branche droite de mon sac à dos, dont le poids manque presque de me faire tomber, j’ajoute un simple « Au’rvoir » sec, histoire de paraître un minimum polie. Ce qui est presque ridicule avec ce que je viens de dire, m’enfin tant pis.
(Désolée, j’ai changé de point de vue dans l’écriture en cours de RP, j’ai voulu essayer d’autres trucs, mais je suis plus à l’aise en narrant à la première personne en fait >-<’)
InvitéInvité
Sam 5 Jan - 15:08
Non mais pour qui elle se prend cette petite jeune ? D’abord elle me prend pour une idiote, ensuite elle me pose des questions, puis elle me dit qu’elle se barre avant me laisser le temps de lui répondre, et enfin elle m’insulte au passage. Et avec tout ça, je suis censée réagir comment ? Bien ? Non, je ne réagis pas bien. A vrai dire, il ne m’en faut pas beaucoup pour me vexer, mais celle là mérite un coup de canne. Ou deux. Voire trois, en fonction de ma… gentillesse du jour. Dès que la gamine me tourne le dos, je saisis ma canne et réfléchis rapidement.
La frapper ? Hum non, pas assez subtile.
Lui faire un croche-pied ? Hum non, pas assez violent.
Ouvrir son sac et tout faire tomber ? Hum non, il pourrait y avoir des objets précieux à l’intérieur, et je ne connais que trop bien la valeur des choses.
Quoi alors ? Allez, va pour la méthode de gros bourrin. Je lui donne un bon coup de canne dans le creux des jambes, puis saute à une hauteur respectable pour une femme de ma taille, atterris sur ses épaules et lui donne de petits coups de poings sur la tête (en manquant de lui arracher des cheveux au passage). « Comment ça à mon âge ? Je vais vous apprendre le respect jeune fille ! On ne critique pas les femmes d’âge mûr ainsi ! Et puis, on ne vous a jamais appris à ne pas juger les gens sur leur physique ?? JE VAIS VOUS APPRENDRE LA VIE MOI ! »
Salomé Kessai
PO : 218 Messages : 59 Date d'inscription : 20/09/2018
Je me retourne, et avant même de finir un premier pas, m’arrête net. J’me suis pris un coup dans les jambes, ce qui me fait plier les genoux et perdre l’équilibre, mais je me rattrape avant de tomber. La petite vieille à qui je viens de parler et qui vient accessoirement de me donner un coup de canne saute alors sur mes épaules et me frappe la tête. Alors : première chose à noter avant de réagir : elle saute haut. La situation est tellement inattendue que ça ne m’énerve même pas. Enfin, presque pas. Je sais que c’est moi qui ai commencé hein, je suis pas débile, mais c’est pas une raison pour me taper. Niveau actions, je commence par protéger ma tête avec une main, et me sers de l’autre en poussant ses pieds pour la faire tomber. Elle peut sauter plus d’un mètre cinquante, elle peut bien supporter une chute de la même hauteur ? Bon, le truc de la main pour protéger la tête c’était con, maintenant j’ai mal aux deux. J’ai pas envie de la frapper. J’frappe pas les gens. Ça sert à rien. Je lui dis, d’un ton ferme, mais sans (trop) gueuler :
« Mais vous êtes dingue ? Pour répondre, déjà, je critique tout le monde, non on ne m’a rien appris de ça, et qu’est-ce que vous comptez apprendre à qui que ce soit en le frappant ? Ouais j’ai été impolie, j’suis assez lucide pour être au courant de ça, non je m’excuserai pas, certainement pas comme ça. »
Heureusement qu’il n’y a personne, pas envie d’attirer des regards.
Elle a de la force la p’tite ! Il ne lui a fallu qu’une seule main pour me faire tomber, pourtant j’étais bien accrochée à sa tignasse. Juste avant d’atteindre le sol, je fais un petit salto, autant atterrir avec grâce. Et elle commence à m’engueuler « gentiment ». Gentiment. GENTIMENT. Pourquoi j’ai l’impression que mon apparence à quelque chose à voir dans cette histoire ? Bon, je me fais peut-être des idées aussi, mais c’est l’impression que j’ai eu au premier abord. De toute façon, je n’ai pas envie d’être rationnelle, ces temps-ci. Alors je me vexe. Oui, toute seule, comme une grande. Et j’ai une idée. A la fin du laïus de la p’tite, je saute une nouvelle fois, attrape une des bretelles de son sac, et l’élan que j’ai pris lors de mon saut et le léger virage effectué avec brio me permet de lui prendre son sac-à-dos. Diantre, il est lourd. ET GRAND. Mais porté sur mon dos, il ne frôle quand même pas le sol. Je commence à courir avec un rire diabolique raisonnant dans la pièce si haute de plafond. J’ouvre la porte du fond, celle par laquelle j’étais entrée, et m’engouffre dans des tunnels de roches, étouffants de chaleur. Direction la cascade de feu. Enfin si ma victime ne me rattrape pas avant. Mais je cours vite, malgré mon âge, malgré le poids sur mes épaules.
Oui, aujourd’hui je n’ai pas envie d’être gentille. Et puis, tant qu’embêter la p’tite m’amusera, je continuerais de l’embêter. Au moins, cela me permettra de penser à autre chose qu’à ma pourriture de génitrice.
HRP:
Je suis désolée du comportement d'Ely T.T
Salomé Kessai
PO : 218 Messages : 59 Date d'inscription : 20/09/2018
Mais. Mais. Mais… Mon sac ? MERDE ! Elle s’enfuit en courant avec toutes mes affaires sur son dos… J’sais pas bien à quoi ça va lui servir. Elle est déjà à la porte, je me mets à courir pour la rattraper, sans savoir ce qu’il y a derrière ces murs. … Et c’était quoi ce rire maléfique ? Il fait une chaleur étouffante dehors, mais je ne m’en occupe pas. Je la vois encore devant, je la suis dans l’action, sans vraiment réfléchir, mais elle a l’air de savoir où aller. Et je commence à avoir de sérieux doutes sur ce que renvoie son apparence, soit c’est une vieille très (mais alors très) sportive, soit c’est un monstre naturellement ridé. Elle court plus vite que moi alors qu’elle porte mon sac, et que moi… Bah non du coup. Logique. … Elle est où ? Je l’ai paumée dans la course, arrivée à un croisement… Il y a plusieurs chemins, elle aurait pu tourner n’importe où. J’arrête de courir et reprends mon souffle. Ce qui est sûr ce qu’elle n’est pas juste devant, le chemin continue tout droit sur trop longtemps pour que je ne puisse pas la voir si elle était passée par là. Il a suffit de trois secondes d’inattention pour que je la perde de vue. Je me retrouve donc seule, dans un endroit que je ne connais absolument pas, étouffant de chaleur, et sans aucune affaire… Putain. Continuer tout droit ne servirait à rien, c’est sûr qu’elle n’y est pas. En arrière non plus, jusque là c’est logique, et je ne peux pas rentrer maintenant de toutes façons. D’autant plus que la pièce « d’entrée » avec la fontaine doit être assez loin maintenant. Je n’ai fait pas fait attention aux chemins, je ne serais peut être même pas capable d’y retourner… PUTAIN. Bon, je prends au hasard le chemin de droite, sans courir. Ça ne sert plus à rien maintenant. Je marche une dizaine de minutes sans la retrouver, et commence à avoir soif. Forcément. Et j’ai plus d’eau. Ben non, elle est dans mon sac. Je m’assois alors sur le sol, en demandant si j’allais continuer sur ce chemin, retourner à la pièce de la fontaine… C’est bien ça, une fontaine… Ou bien retourner au croisement pour prendre le chemin de gauche. Plus le temps passe, plus j’ai de doutes sur où elle peut se trouver. Elle aurait très bien rebrousser chemin et en arpenter un autre, ce qui fait maintenant deux fois plus de possibilités à envisager. Je ne sais pas quoi faire.
La p’tite me court après mais l’écart entre nous devient de plus en plus important. Elle va bientôt me perdre. Ce n’est pas drôle ça ! Et puis… pourquoi ai-je ce petit pincement au cœur ? Des regrets ? DÉJÀ ? Bon… faut savoir écouter son cœur parfois. Après un virage dans un croisement, je me cache derrière un rocher. La jeune continue à courir sans m’avoir vue. Les rôles sont inversés, mais elle ne le sait pas encore. Alors je la suis discrètement. Elle commence à marcher, elle est visiblement perdue. Au bout d’un moment, elle finit par s’asseoir. A bien l’observer, on dirait qu’elle a soif. Bon… J’ouvre son sac, et vois une bouteille d’eau. Mes yeux vont de la bouteille à la p’tite, de la p’tite à la bouteille, de la bouteille à la p’tite, de la p’tite à la… j’ai mal au cou. Dans le sac, je trouve aussi un appareil photo. Elle est venue là pour prendre des photos ? Elle devrait aller à la cascade de feu, c’est magnifique là-bas. Mais elle ne sait sûrement pas où ça se trouve.
Et si je l’y emmenais ? Mais je ne vais pas débarquer comme ça, la bouteille d’eau à la main et grand sourire, en mode « Heeey j’ai un endroit génial à photographier si tu veux, je peux même te servir de modèle si ça te dis. » Ça le ferait moyen quand même. Mais j’ai une idée pour la conduire là-bas. Il y a assez de choses pour jouer au Petit Poucet dans ce sac. Alors je pose la bouteille bien en évidence, et sans aucune discrétion, je pose d’autres objets par terre, à distance raisonnable pour la guider. Je crois qu’elle m’a entendu, elle se dirige dans la bonne direction.
Bien.
Je sème donc les objets petit-à-petit, jusqu’à la cascade de feu. Là-bas, je pose l’appareil photo et le sac vide, toujours bien en évidence, et je me cache, pour observer sa réaction. Oui, j'aime me compliquer la vie. Mais j'aime surtout compliquer celle des autres.
Salomé Kessai
PO : 218 Messages : 59 Date d'inscription : 20/09/2018
Je décide de me relever et de retourner sur mes pas. Ça ne sert à rien de chercher pour le moment. Mais, entendant un léger bruit, je tourne la tête et vois un objet qui n’était pas là tout à l’heure… Une bouteille d’eau ? Vraiment ? Je m’approche et la récupère. En l’observant je me rends compte d’une chose : c’est MA bouteille d’eau. Enfin ce serait une trop grande coïncidence que ça ne le soit pas. Peu importe, je bois une partie de son contenu sans plus réfléchir. Et autant en garder un peu pour après. Je continue de marcher en toute logique par là où était posée la bouteille, et… C’est pas sérieux ? Une chaussette ? Une chaussette qui est à moi aussi. Donc, soit l’aut’ vieille est vraiment pas maligne, soit elle se fout ouvertement de ma gueule. Je pencherais plutôt pour la deuxième option. C’est quoi, un jeu de piste ? Je continue d’avancer et récupère une mitaine, mon casque, un t-shirt, un chausson… mais pourquoi j’ai pris un chausson ? Je me débrouille pour tout prendre, mais je crois bien qu’elle s’est démerdée pour foutre absolument toutes mes affaires par terre… Alors je fais un tas de ce que j’ai récupéré, le planque dans un coin, (c’est pas vraiment caché mais bon, y’a personne), et continue à suivre. Faut bien que je retrouve ma caméra… Mais vraiment, qu’est-ce qu’elle me veut l’autre ? C’est la première fois que ça part aussi loin quand j’interagis avec quelqu’un. Je crois. L’environnement peu familier y est peut-être pour quelque chose aussi. Je marche sans trop faire attention à ce qui m’entoure, en regardant le sol. Et enfin, je trouve ma caméra, et mon sac, posé à côté, vide… Et il n’y a personne. Je récupère mon sac, et allume la caméra, vérifier qu’elle fonctionne encore. Okay, pas de problèmes. Et, à travers la caméra, je vois… Oh. Je regarde autour de moi. Je n’avais même pas remarqué la beauté de l’endroit. Et tu m’étonnes qu’il fasse chaud dans le coin ; une cascade de feu… de lave, je sais pas, une cascade qu’est orange et qu’est chaude. C’est magnifique. Je pose mon sac, fait quelques réglages sur la cam, et me mets à genoux pour filmer l’endroit. J’essaye de le prendre de tous les angles de vue possibles, je vais peut être déglinguer toute la carte mémoire, mais là ça vaut le coup. Pour le moment je continue de filmer, en me demandant quand même… Elle est où la vieille ?
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Mar 11 Déc - 23:16