Les RPs sont susceptible de contenir de la violence verbale et physique, ainsi que de l'érotisme. Avatar illustrés 200 x 400, contexte fantastique tiré d'Undertale. Pas de minimum de ligne.
Top sites
à adopter de toute urgence !
Petites annonces
03/08/2016 — Lorem ipsum cherche un partenaire RP! Plus d'infos par par ici.02/08/2016 — Un nouveau prédéfini a rejoint le bottin, ouvrez l'oeil, il paraît qu'il est dangereux !17/07/2016 — Lancement de l'intrigue #2, renseigner-vous pour y participer ...
Le bruit du vent dans les feuillages te remplit de détermination. Il te reste juste assez de conscience pour comprendre que tu vas perdre conscience, alors que ton corps tombe sur un sol que tu ne connais pas, dans un endroit que tu ne reconnais pas. Je te rends ton corps, Frisk, il est trop faible pour que me servir à quoi que ce soit. Pour seule réponse, tu grognes, tandis que tu tournes ton corps doucement, finissant de profil. Il te faut des réponses. La terre sous tes doigts te laisse deviner que tu n'es plus en ville, mais où... ? Essayant de plisser les yeux, il te semble reconnaître des arbres autour de toi. Tu ne sais pas où tu es, et tu as perdu tout repère d'espace et de temps. Quelle heure est-il? Tu ne sais plus rien, à cet instant, hormis que la douleur dans ton dos te cloue sur place, faisant se perdre ton esprit dans des brumes fiévreuse, tandis que tu luttes pour ne pas les laisser t'emporter. Il faut que tu appelles à l'aide. Il faut qu'on te sauve. Dommage que personne ne vienne...
Avec toute la difficulté du monde, tu sors ton téléphone de la poche de ton sweat-shirt gris, ouvrant le clapet de ton autre main mais, malgré tes efforts, l'écran reste désespérément noir. Il est complètement déchargé. Cette information laisse un frisson de panique s’emparer de ton corps. Depuis combien de temps n'ai-je plus le contrôle ? Penses-tu, cherchant tes derniers souvenirs, mais ils ne viennent pas. Rien ne vient, hormis la fièvre...
Dans un état de semi-conscience, ton esprit essayant vaguement de démêler le vrai du chimérique, tu vois une silhouette massive approcher. Un corps grand, et blanc. Elle a quelque chose de familière, cette silhouette, quelque chose qui te pousse à tendre une main vers elle. Pas pour l'implorer, pas pour la supplier... Mais juste pour la toucher. Juste pour être dans ses bras, et te sentir rassuré.e. Tout ce que tu veux, à cet instant, c'est qu'on te dise que tout ira bien. Ce n'est pas le cas.
« P-papa ? »
Dis-tu d'une voix si faible qu'elle se rapproche plus d'un murmure, t'arrachant quelques quintes de toux, tandis que ta main retombe mollement au sol, dans un bruissement de feuilles et d'herbes. Une forêt ? Laquelle ? Penses-tu, juste un instant avant que les ténèbres t'emportent. Tu as à peine le temps de sentir des mains te saisir, que ton esprit disparaît pour de bon dans l’inconscience. Dors Frisk. Profite.
***
Tu as chaud et c'est... Agréable. C'est la première chose qui te vient à l'esprit. Depuis combien de temps n'avais-tu pas connu un tel confort ? T'enfonçant un peu plus dans ton lit, tu grognes un peu, à l'idée de te réveiller. La journée va bientôt commencer, mais tu veux préserver encore quelques instants l'avant-réveil. Tu veux juste dormir encore quelques minutes avant qu'une sonnerie stridente te pousse à ouvrir les yeux. Juste un peu. Maman viendra te réveiller d'ici quelques minutes avec une part de tarte, de toute façon, alors autant profiter. Tu es tellement, tellement fatigué.e, de toute façon...
Soudainement, tout te revient. La forêt. La fièvre. Ton père.
Dans un sursaute, tu relèves tes draps, pour te rendre compte que tu es vêtue d'une longue tunique, beaucoup trop grande pour toi et ta carrure filiforme. Ce n'est pas la tienne, c'est certain, mais c'est plus propre et confortable que tes vêtements pleins de terre et de boues, alors tu ne t'en plains pas. Tu remarques aussi que tes bandages ont été refaits, et que la douleur dans ton dos ne pulse plus terriblement, comme c'était le cas lors de ton premier réveil. Tu ne sais pas où tu es, mais quelqu'un t'a aidé, c'est certain. Et tu sembles en meilleur état. Faible et fatigué.e, mais en mieux.
Passant une main dans tes cheveux, tu examines les lieux, prudent.e. Il semblerait que tu sois dans une... Grotte? Il fait sombre, tu ne sais pas trop, bien que le souvenir d'une forêt te sois resté en tête... Cependant, le bruit du vent passant dans les feuilles, que tu entends au loin, te laisse penser que tu n'as pas du l'imaginer. Quelqu'un t'a trouvé. Le souvenir de la grande silhouette blanche te revient. Tu hésites à te lever pour la chercher, mais tu es si faible, que tu n'es pas sûr.e que tes pieds te porteraient bien loin. Autant rester à l’abri, dans ce lit...
La chasse à était bonne ! quand je voie tout ce que j'ai pus récupérer ! Encore une ou deux sortie comme celle ci et je pourrais passer l'hiver sans soucis ! En plus la fourrure de ces bestioles me permettra surement de changer les panneaux solaires de la grotte ! M'enfin bon , faudrait que je varie un peu , car si je me nourris que de viande ça va pas le faire. Hmm je vais peut être partir à la pèche plutôt demain ! c'est fou ce que cette foret est riche en nourriture ! mais je ne dois pas en abuser ! Mais on y trouve vraiment tout ce dont ont a besoin , des fruits , des légumes , des oiseaux , de la viande , des humains...DES HUMAINS ?
Le monstre vint alors a apercevoir le corps du jeune Frisk qui semblait sans vie. il ce précipita immédiatement vers le corps de celui-ci. il aperçut rapidement les blessures dans le dos du jeune.
"Mais rooh...encore un violeur ? je pensais pas en croiser un deuxième aussi vite tss , si je le choppe celui la…"
a peine il eu le temps de finir sa phrase qu'il remarqua que l'enfant en question n'était point mort. Par reflexe , il le mit sur son épaule gauche tel un sac a patate , son épaule droite étant déjà prise par le sac de gibier et se dirige rapidement vers son chez sois. Cacher dans un creux de la forêt , l'habitation de lexur était une grande grotte que le temps avait creuser dans un rocher. Lexur avait prit le temps d'aménager l'endroit. A l'entrée de la grotte il y avait une grande porte coulissante japonaises que celle lexur pouvait ouvrir avec son arc. Afin de pouvoir ouvrir la porte il déposa le sac de viande , puis il allongea frisk sur le sac en question. il décocha une fléche de lumière dans la serrure et comme par magie la porte s'ouvrit d'elle même. Il rangea son arc dans son téléphone et repris frisk et la viande.
La salle principal de la grotte était une grande pièce couvert de tatami sur le sol. Hormis ça il n'y avait que une petite télé , un grand congélateur et un réchaud. Lexur n'avait pas encore eu les moyens de s'offrir le grand confort mais ça aller venir. Le monstre posa la viande dans la pièce et se hâta vers une petite porte au fond. il arriva dans une petit pièce ou trônait sur un tatami , un futon et rien d'autre , il posa l'humains sur le futon et s'absenta deux minutes de la pièce. Il revint dans celle-ci avec des bandages et un kimono tout noir. il retira a toute vitesse les habits sales du petit , puis lui fit des bandages de fortune très rapidement avant de l'habiller du kimono. Il le glissa sous les draps et fit un dernier aller retour pour aller chercher un gant qu'il avait humidifier grace a la rivière attenante. il posa délicatement le gant sur le front de Frisk puis sorti de la chambre. il se mit a ranger les différent morceaux de viande qu'il avait récolter et faisait sécher les pot de bête.
Après un long moment en dehors de la chambre , il entendit du bruit venir de celle-ci. Il se dépécha d'aller voir et fut surpris par les paroles de l'humains.
"Ton papa n'est pas la petiot , il n'ya que toi et moi"
le monstre lui fit un sourire puis s'approcha de lui pour poser sa main sur son front
"Ouchi , t'es encore chaud toi ! je vais aller te preparer quelque chose !"
Il déplaça un tatami qui cachait en dessous , une reserve d'herbe médicinale , d'épice et de fruit sec en tout genres. Il prit ainsi deux trois herbe qu'il jeta dans une casserole avec un peu d'eau. Une fois que la mixture eu pris la consistence d'une soupe , il vint donner un bol a Frisk
"Bois , cela ne peut te faire que du bien."
Frisk Dreemurr
PO : 673 Messages : 428 Date d'inscription : 14/09/2018
L'amertume de cette mixture te remplit de détermination.Ce n'est pas ton père. Maintenant que tu le vois, maintenant que les brumes de la fièvres se sont dissipées, tu vois que ce n'est pas lui. Il est... Différent, de taille, d'apparence, de corpulence. Ce n'est pas ton père, non, mais il y a un air de famille. Un air déplaisant.
Te souriant, il se rapproche, posant sa main monstrueuse sur ton front. Il a le poil doux, et cela t'es si familier que tu ne peux t’empêcher de te détendre, te sentant en sécurité. Tu as envie de t’emmitoufler dans ses bras et d'oublier tout le reste, juste pour te raccrocher à ce petit quelque chose de trop familier qu'il porte en lui. Juste parce qu'il te rappelle ta famille. Juste parce qu'il te rappelle lui...
Le regardant faire, tu le vois sortir de sous le sol une réserve de plantes, qu'il récupère avant de les jeter dans une casserole, qu'il chauffe et prépare sur un petit feu. Il n'est pas magique. Tu fronces les sourcils, légèrement surpris.e de cette révélation. Asgore et Toriel ont tous les deux la magie du feu. Pourquoi pas lui ? C'est étrange comme, malgré la fièvre, tu ne peux t’empêcher de laisser la curiosité te dévorer, tu veux savoir. Tu dois savoir. Parfois, tu arrives encore à me surprendre, Frisk...
Puisant dans tes maigres forces, tu t'assois doucement sur le futon, resserrant doucement la tunique - dont tu ignores le nom – autour de tes épaules, y cherchant un reste de chaleur. Tu sens que la fièvre ne t'a pas encore totalement quitté, alors qu'un frisson se repend le long de ta colonne, ravivant la douleur dans ton dos. Tu es gelé.e, l'infection t'a bien affaiblie. La faute à qui? Penses-tu avec amertume. Oh, voilà que tu m'accuses encore. Non Frisk, crois moi, si nous en sommes là, c'est uniquement et seulement de ta faute. Je t'ai offert un autre choix, une collaboration et tu l'as refusé. Voilà pourquoi tu souffres...
Le monstre revient vers toi, t'offrant ce qui ressemble à une soupe, et que tu prends de deux mains faibles, légèrement tremblantes, alors que tu l'observes encore, l'air surpris.e. Il leur ressemble vraiment, je suis d'accord avec toi Frisk. C'est perturbant.
Tu murmures un petit merci en amenant le bol à tes lèvres. Le goût est amer, comme souvent avec les plantes médicinales, mais tu te forces à ne pas grimacer, avalant plusieurs gorgée chaudes avant de laisser le bol à moitié vide. Tu as besoin de cette mixture, et tu bien trop redevable pour te plaindre du gout de ce qui te soigne. Cet homme t'a probablement sauvé, ou s'il ne l'a pas fait, il t'a empêché de vivre une longue agonie en pleine foret. Dommage, mais oui, tu lui dois beaucoup.
« Je vous remercie pour tout ce que vous avez fait, je me sens déjà... Mieux. Encore plus grâce à votre heu... Soupe? »
C'est vrai. Même si la douleur était toujours présente, même si la fièvre alourdissait encore ton corps douloureusement ankylosé... Tu sentais un mieux. Tout ce qu'il te fallait, c'était du repos. Mais je n'ai pas spécialement envie de m'attarder ici Frisk. Dès que tu tiendras sur tes jambes, je reprendrai le contrôle. Cette révélation t'abat, alors que tu fais de ton mieux pour l'encaisser sans rien ne laisser paraître, le visage stoïque. Difficile de rester de glace, alors que tu réalises que tu ne sais même plus quel jour nous sommes...
« J'ai dormi longtemps ? Pourriez-vous... Pourriez-vous me dire quel jour nous sommes ?»
Demandes-tu nerveusement, alors que tu cherches tes affaires des yeux, que tu trouves pliés près du futon. Cherchant dans tes poches, tu y retrouves ton téléphone, voulant lire l'heure, connaitre ton emplacement. Déchargé. Tu fermes doucement les yeux, en imaginant la panique dans laquelle Toriel doit être. Ou même ton père. Imagine qu'ils aient lancés des avis de recherches? Comment lui expliqueras-tu tout cela ? Soupirant doucement, tu hausses des épaules. Tant pis... Tout cela est allée beaucoup trop loin désormais. Tout ce que tu peux faire, c'est laisser couler...
« Vous n'avez pas de chargeur, je présume ? Dis-tu avec une pointe d'humour acide, alors que tu refermes le clapet de ton téléphone, passant une main désabusée dans tes cheveux. C'est la merde, penses-tu. En effet. Ma famille doit être morte d’inquiétude... Tournant doucement le regard de nouveau vers lui, tu hésites un instant, puis tu te lances. Toujours trop curieux.se, hein? Vous... Vous connaissez les Dreemurr ?»
Evidemment qu'il les connait, on parle de la famille royale! Mais ta question sous-entend autre chose. Quelque chose qu'on a souvent du sous-entendre en lui parlant... Il faut que tu saches...
Accueil
Dim 4 Nov - 9:21